OJC, partenaire des
Achats Directs

Au fil du temps et grâce à ses nombreuses expériences projets, OJC Conseil est progressivement devenu le partenaire incontournable des Achats Directs.

Pourquoi OJC Conseil ?


À l'heure de la nécessité de bâtir des "Supply Chain" Résilientes, Nous croyons à la construction des solutions IT solides mais aussi innovantes.

Le monde des achats directs impose pour les femmes et hommes de cette fonction, un positionnement "nouveau", très en amont du processus de vente et de conception de l'entreprise. La compréhension des finesses métiers, essentielle à la création de valeurs, est aujourd'hui une force pour notre société et c'est une des raisons qui a convaincu nos clients de nous faire confiance. 


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Piloter


Pourquoi ?

Le Pilotage des Achats Directs est primordial pour l'optimisation économique ainsi que pour la sécurisation de sa chaîne d'approvisionnement. Piloter consiste donc à mettre sous contrôle :



L'efficacité du pilotage passe par le contrôle et l
a maîtrise du processus qu'il est nécessaire de comprendre, de documenter et d'outiller (Système d'Informations et indicateurs). Les données d'entrée et les données de sortie du processus représentent une grande part de ce qu'il faut prendre en compte et/ou contrôler.  

Quelques données d'entrée clés : 

  L'expression des besoins d'achats
Souvent issue des bureaux d'études à travers les PLM ou autres systèmes de conception, elle nécessite quasi systématiquement un enrichissement par les acheteurs et les qualiticiens, avant d'être considéré comme "achetable" 

  L'analyse des dépenses (Spend analysis) 
Primordiale à la construction des Stratégies d’Achat et du Programme Directeur Achat, elle intègre une analyse fine des risques avant d'être décliné par catégorie d'achat (Category Management) 

  L'analyse logistique (Supply Chain Management)
Comprendre les temps interopérations au long de la chaîne d'approvisionnement pour anticiper et sécuriser le chemin critique de production du produit/service vendu (Lead Time Management) 

Quelques données se sortie clés : 

 Évaluation opérationnelle des fournisseurs (performance) 
Leurs capacités à respecter la qualité, les coûts et les délais.

  Mise sous contrôle des risques
Les risques liés à la préservation de la chaîne d'approvisionnement.

 Plan d'amélioration continue du processus achats/approvisionnement
Décliné par Catégorie d'Achat en termes d'optimisation et de sécurisation.


L'exploitation des données opérationnelles des différents
Systèmes d’Informations Entreprise est donc stratégique pour les sociétés et requiert un très bon niveau de qualité. 

L'atteinte des résultats passe principalement par une intégration adaptée des Systèmes d'Information :

  Respect et support des gestes métier 
  Création et gestion de données propres 
  Analyse des données et décisions opérationnelles de pilotage 

Optimiser


Pourquoi ?

Optimiser les achats peut être résumé à maîtriser la chaîne des coûts, de bout en bout, de l'idée de besoin, à sa livraison conforme. 

Néanmoins, l'avènement de l'économie de marché a fortement compliqué les schémas de coûts traditionnels par l'ajout de schémas logistiques complexes et d'impacts sur la qualité. Ces schémas restent encore en mouvement et prennent en compte aujourd'hui de nouveaux enjeux environnementaux et sociétaux. 

Pour optimiser les achats de manière pérenne il est nécessaire de rester agile pour adapter les modèles de coûts de l'entreprise. L'optimisation des achats est une des actions à part entière, de la diminution des risques encourus par les sociétés sur leurs propres marchés. 

 

La pyramide des coûts :


Les principales thématiques requises à l'optimisation des achats à travers 
la pyramide des coûts : 

   Le prix : 
Il est l'information la plus facile à collecter puisque les fournisseurs le donnent en réponse à une expression de besoin technico-fonctionnel. 

Le prix est indissociable de la notion de coûts d'approches, en effet pour qu'un produit soit disponible chez le client, encore faut-il le transporter. Ici la notion d'Incoterms (ICC | International Chamber of Commerce (iccwbo.org)) est clé car un prix s'exprime systématiquement avec un incoterms sachant que ce dernier défini qui à la charge des coûts et de la responsabilité (assurances). Il est donc évident que le premier de niveau de comparaison entre prix fournisseurs doit s'effectuer à incoterms constant pendant un processus d'appel d'offres. 

Dans les coûts d'approche on oublie souvent aussi l'impact que le "packaging" peut avoir. 

On a ensuite un ensemble de type de coûts qui doivent permettent aux acheteurs de pouvoir comparer et de projeter raisonnablement une économie pour l'entreprise : 

   Les coûts d'acquisition : 
Permettent de chiffrer les temps d'industrialisation d'un fournisseur et de mesurer un certain retour sur investissement 

   Les coûts de possession : 
Correspondent aux coûts des stocks et des stockages, qui peuvent être directement liés à la performance logistique de fournisseurs.

   Les coûts de maintenance :  
Permettent d'anticiper les coûts de maintien en condition opérationnelle des moyens (machines, bâtiments).

   Les coûts d'usage : 
Permettent de collecter les coûts non apparents d'utilisation des machines et bâtiments, qui peuvent être directement liés par exemple à une performance environnementale. 

   Les coûts de non-qualité : 
Ils sont l'indicateur de ce qui 
s’est bien passé ou non sur les autres lignes de coûts et permettent aussi de déterminer ce qui est optimisable ou optimisé. 

L'ensemble de ces coûts représente donc la chaine de valeurs, que chaque acheteur à pour mission d'optimiser et c'est pourquoi il doit pouvoir compter sur des sources de données exhaustives et propres qu'un système d'information bien construit peut lui apporter. Le développement des outils dit de "costing" et "cost modeling" ont pour objectif de supporter l'ensemble des combinaisons de composants de coûts, que l'acheteur optimise à travers la construction de scénario d'achat et de logistique. 

Sécuriser


Pourquoi ?

Sécuriser les Achats Directs est stratégique pour les sociétés. On parle de sécurisation car un portefeuille important de risques peut toucher les sociétés. 

Le premier risque visible à sécuriser, du fait de l'activité des sociétés, est la rupture d'approvisionnement ou rupture de "Supply Chain". Depuis que les sociétés achètent des produits et services à des fournisseurs, ils confient à des tiers une partie de leur chaine de production (Achats Directs). 

Le temps de production interne devient pour les produits et services achetés le délai de réalisation. Ce délai doit être sécuriser pour ne pas freiner ni stopper la chaine de production interne. Malheureusement ce délai est constitué de plusieurs composants : 

  Temps de production fournisseur 
  
Temps de transports entre les sites
  
Temps de contrôle 
  
Autres... 

 ce qui complique : 

 La collecte des données auprès de plusieurs tiers. 
 
La construction d'une chaîne d'approvisionnement économique, performante et sécurisée. 
 
Le maintien et le contrôle de la chaine d'approvisionnement (Supply Chain Management). 

Il est donc du devoir de l'acheteur de connaître le chemin critique de production (approvisionnements compris) afin de mettre en place les actions associées de sécurisation. 

Notes :

Pour avoir une gestion efficace de la chaîne d'approvisionnement, il faut disposer, pour chaque article acheté, des informations suivantes

Les autres aspects de la sécurisation

La sécurisation peut prendre d'autres aspects tout aussi critique pour les sociétés mais souvent moins facile à appréhender sans une connaissance approfondie des segments/catégories d'achats. 

De manière non exhaustive nous pouvons citer : 

 La pérennisation pour couvrir les risques de pénurie dont les causes sont multiples : 

 La conformité aux règles d'éthique pour couvrir les risques de perte d'image de l'entreprise en terme : 

 La conformité environnementale pour couvrir plusieurs risques combinés (Image, Pollution, Coût) pour lesquels, les causes naissent à : 

La gestion du risque est encore souvent bornée à la gestion du risque fournisseur (SRM) mais comme évoqué ci-dessus, le scope à couvrir est bien plus vaste et invasif. 

Cela requiert donc d'accroître et de rendre robuste les systèmes d'information achats, qui sont en support des décisions stratégiques de l'entreprise en termes de management des risques à l'achat.